Pierre a 25 ans quand il rentre du Wyoming pour retrouver Claire sa fiancée et reprendre la ferme familiale. Vingt ans plus tard, l’exploitation s’est agrandie, la famille aussi. C’est le temps des jours heureux, du moins au début… Les dettes s’accumulent et Pierre s’épuise au travail, il sombre peu à peu…
« Emouvant, « Au nom de la terre » est, au-delà d’une tragédie épique, le témoin sans fard d’un monde en péril. » L’Express